Heureux
celui qui loin d'affaires
Comme les gens du temps passé
avecques ses bufs ordinaires
Laboure tes champs que ses pères
en propre lui ont délaissés.
Vivez donc aux champs gentilshommes
Vivez sains et joyeux cent ans
Francs du malheurs des autres hommes
Et des factions où nous sommes En un si misérable temps
Nicolas Rapin (via Vincent Ayrignac)